La vacherie (en terme français cadien) ou l’élevage est l’ensemble de toutes les activités qui garantissent la reproduction des animaux souvent sauvage et parfois domestique, pour un usage humain. Les produits de l’élevage engagent les sous-produits et produits carnés pour la nutrition animale ou humaine, les animaux eux-mêmes, une résistance de travail, ainsi que des sous-produits et produits culturaux non comestibles. Mais quels sont les différents types d'élevage ?
Les différents types d’élevage
D’abord, il y a l’élevage bio, les meilleurs fondements qui font les bons élevages dont la considération du cycle de vie et le bien-être des animaux, le maintien de la fertilité des sols, respect de l’harmonie. L’élevage nomade, ancestral et pastoral provenant de la doctrine d’élevage extensif. Puis, l’élevage industriel ou intensif, qui est un type de production convoitant à obtenir les meilleurs bénéfices possibles tout en dépensant le minimum d'argent possible. C’est-à-dire, dirigé sur une rentabilité maximale. L’élevage conventionnel, lui, est orienté sur la recette de source animale dont l’œuf, lait, viande,… ainsi que sur sa vente avec une échelle élevée. Il y a aussi le mini-élevage, à échelle courte ou élevage familial, encouragé surtout dans les villages défavorisés ou isolés pour remplacer le braconnage et la cueillette.
Elevage bio
L'élevage biologique respecte des normes strictes qui incluent l'alimentation naturelle des animaux et l'interdiction des produits chimiques. L'accent est mis sur la durabilité et le respect des cycles naturels, contribuant à une meilleure qualité des produits.
Les méthodes biologiques réduisent la pollution et favorisent la biodiversité. Pour la santé humaine, elles garantissent des produits sans résidus de pesticides ou d'antibiotiques, ce qui en fait un choix privilégié pour de nombreux consommateurs.
L'élevage extensif
L'élevage pastoral, nomade ou ancestral représente des formes d'élevage qui sont profondément enracinées dans l'histoire et la culture de nombreuses communautés à travers le monde. Ces méthodes, transmises de génération en génération, sont plus qu'une simple activité économique ; elles sont une partie intégrante de l'identité culturelle et du patrimoine des peuples. Elles illustrent un mode de vie qui a su s'adapter aux défis environnementaux et sociaux au fil des siècles.
Les pratiques et la culture de l'élevage pastoral
Souvent pratiqué dans les régions arides, l'élevage pastoral repose sur la transhumance. Les communautés déplacent leur troupeau selon les saisons pour accéder à de nouveaux pâturages, une pratique respectueuse des cycles naturels.
L'élevage pastoral s'adapte aux variations climatiques et aux terrains, ce qui en fait une stratégie de survie pour les populations dans des environnements difficiles. Les éleveurs dépendent fortement des connaissances écologiques locales pour guider leurs décisions, renforçant ainsi la symbiose entre les traditions humaines et la nature.
L'élevage nomade (conserver les traditions vivantes)
L'élevage nomade est intimement lié à la culture des peuples qui le pratiquent, préservant des traditions millénaires et maintenant un équilibre avec les écosystèmes locaux. En plus de maintenir des pratiques durables, l'élevage nomade favorise la cohésion sociale au sein des communautés.
Les rassemblements et mouvements collectifs sont des occasions pour renforcer les liens sociaux et transmettre des compétences cruciales aux jeunes générations, assurant ainsi la pérennité de leur mode de vie.
L'élevage ancestral (mémoire des ancêtres)
Cet élevage se base sur des savoirs transmis de père en fils, offrant une perspective historique sur la cohabitation homme-animal et sur la gestion durable des ressources.
Cette forme d'élevage va souvent de pair avec des rites et des cérémonies qui soulignent l'importance de l'animal dans la culture locale. Ces traditions renforcent le respect et le soin envers les animaux, considérés non seulement comme des ressources, mais aussi comme des éléments centraux de l'identité culturelle.
L'élevage intensif
L'élevage intensif vise une production maximale dans des espaces réduits. Cette méthode privilégie l'efficacité économique grâce à l'utilisation accrue de technologies et d'aliments spécifiques pour accroître la rapidité de croissance des animaux. Les exploitations intenses peuvent être vastes avec des milliers d'animaux sous un même toit.
Cette forme d'élevage soulève de sérieuses questions éthiques et environnementales. La densité élevée d'animaux peut causer des problèmes de bien-être animal et augmenter le risque de maladies, nécessitant des traitements antibiotiques fréquents. De plus, l'impact sur l'environnement est considérable, incluant pollution de l'eau et émission de gaz à effet de serre.
Le mini-élevage ou élévage familial
L'élevage à petite échelle est souvent pratiqué pour subvenir aux besoins directs de la famille. Cette forme d'élevage peut inclure divers animaux comme des volailles, des lapins ou des chèvres, et joue un rôle crucial dans la sécurité alimentaire des communautés rurales.
Ce type d'élevage permet également aux familles de générer un revenu supplémentaire en vendant les produits excédentaires comme les œufs, le lait ou la viande au marché local. En outre, il favorise l'autonomie et la résilience des ménages face aux fluctuations du marché et aux crises économiques.
L'élevage familial encourage aussi la préservation des races locales d'animaux, souvent mieux adaptées aux conditions environnementales spécifiques de la région. Cela contribue à la biodiversité et au maintien de savoir-faire traditionnels, essentiels pour la gestion durable des ressources naturelles locales.
Comparaison entre élevage moderne et élevage traditionnel
On parle d’élevage traditionnel quand on parle des vaches de race locale de petite taille. Elles sont basées sur la qualité et non sur la quantité. Les vaches de race locale, quand elles passent sur des collines, démolissent les champs et causent de grandes querelles entre éleveurs et agriculteurs. D’ailleurs, jour par jour les éleveurs traditionnels suivent leurs vaches, ce qui les rend inaptes à participer à d’autres activités de croissance. Il faut noter qu’un séjour prolongé dans la brousse finit par rendre les bergers impolis, sauvages, maraudeurs et arrogants. L’élevage traditionnel ne permet pas d’améliorer la productivité agricole.
Les vaches de race moderne de grande taille en ce moment engendrent plus que les vaches de race traditionnelle. Et puis, l’élevage en stabulation ne provoque aucune querelle, ainsi que les éleveurs sont multivalents. Ces derniers sont occupés par d’autres travaux. Donc ils n’ont pas d’occasion de délinquance. Quand au celui de moderne, il permet de lutter contre la faim.
Critère | Élevage Moderne | Élevage Traditionnel |
---|---|---|
Techniques utilisées | Utilisation de technologies avancées et automatisées | Techniques manuelles et ancestrales |
Objectif | Maximisation de la production | Priorisation de la qualité et du bien-être animal |
Échelle | Production de masse, souvent à grande échelle | Production à petite échelle, familiale ou communale |
Impact environnemental | Souvent élevé, avec des préoccupations de pollution | Moindre, avec une gestion plus durable des ressources |
Bien-être animal | Varie, mais souvent critiqué pour des conditions restrictives | Meilleur, avec plus d'espace et de liberté pour les animaux |
Diversité génétique | Concentration sur quelques races à haut rendement | Conservation de diverses races locales |
Dépendance | Forte dépendance aux intrants externes (aliments, médicaments) | Moindre dépendance aux intrants, utilisation de ressources locales |
Produits | Standardisés pour répondre à la demande du marché | Variés, souvent adaptés aux préférences locales |
Économie | Orientée vers le marché global | Orientée vers l'autoconsommation et le marché local |
Les différents types d’élevages spécialisés
Dans cette catégorie, il y a l’élevage ovin (moutons), élevage bovin (zébus et vaches), élevage équin (chevaux), élevage caprin (chèvres), élevage avicole (oiseaux), élevage porcin ((porcs), élevage félin (chats), élevage canin (chiens), et l’élevage des animaux à fourrure. Pour les chiens et les chats, il y a l’éleveur amateur, l’éleveur occasionnel, éleveur professionnel, et éleveur commerçant. Et pour la poule, il y a l’élevage en cages, l’élevage au sol, l’élevage en plein air, l’élevage biologique et l’élevage Label Rouge.
L'élevage ovin
L'élevage de moutons est pratiqué dans de nombreuses régions du monde et peut prendre différentes formes, allant de l'extensif au biologique, selon les pratiques locales et les besoins du marché. Les moutons sont élevés non seulement pour leur viande et leur laine mais aussi pour leur lait, qui est utilisé dans la fabrication de divers produits laitiers comme le fromage. Cette polyvalence fait de l'élevage ovin une composante essentielle de l'économie agricole dans de nombreuses cultures.
En plus de leur contribution directe à l'agriculture, les moutons jouent un rôle important dans la gestion des terres. Leur capacité à brouter aide à contrôler la croissance des broussailles et à maintenir des terres ouvertes, ce qui est bénéfique pour d'autres formes de vie sauvage et pour prévenir les incendies de forêt.
Ces pratiques d'élevage peuvent également aider à maintenir les caractéristiques culturelles et historiques d'un paysage, en particulier dans des régions où l'élevage pastoral a façonné l'environnement sur des millénaires. Donc, si vous souhaitez démarrer un élevage de moutons, suivez nos conseils.
L'élevage bovin
Les bovins sont élevés pour la viande, le lait ou comme animaux de travail. D'ailleurs quand on parle de bovidés, on cite les vaches, bœufs, taureaux et veaux. Puis, les races de bovins sont soigneusement sélectionnées en fonction de l'environnement et des besoins spécifiques des régions. Par exemple, certaines races sont privilégiées pour leur résilience dans des climats arides, tandis que d'autres sont élevées pour leur capacité à produire de grandes quantités de lait dans des climats tempérés.
En plus de fournir des ressources alimentaires essentielles, les bovins contribuent aussi à la fertilité des sols par leurs déjections, qui enrichissent le sol en nutriments essentiels pour les cultures. Ce cycle intégré entre élevage et agriculture favorise une utilisation plus durable des terres, en particulier dans les systèmes d'élevage extensif où les animaux paissent sur de vastes étendues.
L'élevage équin
L'élevage équin est diversifié, couvrant les besoins en chevaux pour le sport, le travail, la compagnie ou le spectacle. Les méthodes d'élevage respectent les caractéristiques propres à chaque race et à chaque utilisation envisagée, que ce soit pour la course, le dressage, l'attelage ou simplement pour le loisir.
Les chevaux nécessitent des soins attentifs et spécialisés, depuis leur alimentation jusqu'à leur entraînement et leur santé globale. Cette attention permet non seulement de garantir leur bien-être mais aussi de maintenir des standards élevés pour les différentes activités équestres. De plus, les chevaux ont un impact culturel significatif dans de nombreuses sociétés, étant souvent associés à des traditions et des compétences équestres qui se transmettent de génération en génération.
Les pratiques d'élevage équin peuvent également inclure des programmes de conservation pour préserver les races rares et améliorer les lignées, ce qui est essentiel pour maintenir la diversité génétique et l'histoire de l'élevage équin à travers le monde.
L'élevage caprin
Dans un premier temps, les chèvres sont appréciées pour leur lait, leur viande et leur peau. Puis, l'élevage caprin peut être adapté à des terrains difficiles où d'autres animaux ne pourraient pas prospérer. Effectivement, l'agilité naturelle des chèvres leur permet de naviguer sur des terrains escarpés et rocheux, ce qui en fait des animaux idéaux pour les zones montagneuses ou arides.
Elles aussi contribuent à la gestion des sols en contrôlant la prolifération des broussailles, ce qui peut aider à prévenir les incendies de forêt et favoriser la biodiversité. D'ailleurs les chèvres sont souvent élevées dans des systèmes d'agriculture mixte, combinant cultures et élevage, ce qui permet d'améliorer l'utilisation des ressources naturelles et de recycler les déchets alimentaires en nourriture pour les animaux.
L'élevage avicole
L'élevage avicole est un secteur varié, avec des méthodes allant de l'élevage en cage à l'élevage en plein air, répondant à différentes demandes du marché.
L'élevage en cage, méthode traditionnelle, consiste à maintenir les oiseaux dans des espaces limités. Cette méthode a l'avantage de faciliter le contrôle des animaux et de permettre un accès facile au nid pour la collecte des œufs. Cependant, elle est critiquée pour les conditions de vie des animaux et les conséquences sur leur bien-être.
L'élevage en plein air, aussi appelé élevage extensif, est une méthode qui permet aux animaux de vivre dans des conditions plus naturelles. Cette méthode est plus respectueuse du bien-être des animaux, car les oiseaux ont plus d'espace pour se déplacer et plus de liberté pour exprimer leurs comportements naturels. Cependant, elle peut être plus difficile à mettre en œuvre et peut entraîner des déperditions plus élevées.
L'élevage porcin
L'élevage porcin est courant dans l'industrie alimentaire, mais il est souvent critiqué pour ses méthodes intensives. Il existe cependant des alternatives plus respectueuses des animaux et de l'environnement.
Les élevages sur litière, comme le porc sur paille, sont une alternative qui permet aux porcs de vivre dans des conditions plus naturelles et plus respectueuses de leur bien-être. Cette méthode consiste à maintenir les porcs sur une couche de paille ou de foin, ce qui permet aux animaux de se déplacer et de se comporter naturellement. Cependant, cette méthode peut être plus difficile à mettre en œuvre et peut entraîner des déperditions plus élevées.
D'autres alternatives incluent l'élevage en bandes, qui permet aux porcs de vivre en groupe et de se comporter naturellement, et l'élevage en plein air, qui permet aux animaux de vivre dans des conditions plus naturelles.
L'élevage canin
Les chiens sont élevés pour diverses raisons, allant de la compagnie à des rôles plus actifs comme la garde ou l'assistance. L'élevage canin est un secteur complexe qui demande une gestion adaptée en fonction des raisons d'élevage choisies.
L'élevage de chiens de compagnie est une méthode courante qui consiste à élever des chiens pour être des animaux de compagnie. Cette méthode permet aux chiens de vivre dans des conditions confortables et de recevoir un entraînement adapté pour devenir des animaux de compagnie fidèles et amis de leur famille.
L'élevage de chiens de garde est une méthode qui permet aux chiens d'exercer des fonctions de protection et de surveillance. Ces chiens sont généralement sélectionnés pour leurs qualités physiques et mentales qui leur permettent de protéger leur famille et leur territoire.
L'élevage de chiens d'assistance est une méthode qui permet aux chiens d'exercer des fonctions d'assistance pour des personnes handicapées ou malades. Ces chiens sont sélectionnés pour leurs qualités physiques et mentales qui leur permettent de fournir un soutien et une assistance adaptée aux besoins des personnes qu'ils accompagnent.
L'élevage des animaux à fourrure
L'élevage d'animaux à fourrure est controversé et continue dans certaines parties du monde, répondant à la demande pour des produits de luxe. Les animaux élevés pour leur fourrure sont généralement maintenus en captivité dans des espaces réduits, ce qui constitue une expérience extrêmement stressante pour eux. Les animaux ne peuvent pas vivre selon leur comportement naturel, et les activités telles que l'escalade, la chasse ou la baignade sont impossibles pour eux.
L'élevage d'animaux à fourrure est interdit dans certains pays, comme l'Autriche, la Croatie et le Royaume-Uni. Cependant, il est toujours autorisé en France et en Belgique. Les animaux sont souvent soumis à des conditions cruelles, comme les pièges à mâchoires qui sont extrêmement cruels et profitables pour l'industrie de la fourrure. Les animaux capturés meurent d'épuisement ou d'hypothermie, et les animaux survivants sont généralement tués par les trappeurs.
En raison de la baisse de la demande et de l'épidémie dévastatrice de COVID-19, l'élevage d'animaux à fourrure a connu une baisse de popularité récente. Cependant, il continue à être pratiqué dans certains pays et pour certains produits de luxe. Les éleveurs doivent prendre en compte les exigences du marché, les conditions de vie des animaux et les aspects environnementaux pour assurer une production durable et respectueuse des animaux.
L'élevage amateur
L'élevage amateur est pratiqué par des passionnés qui consacrent du temps et des ressources à élever des animaux dans un cadre non professionnel. Cela peut inclure l'élevage de chiens, de chats, de canaris, de poulets et de lapins, entre autres. Les éleveurs amateurs sont généralement passionnés par une race ou une espèce particulière et élevent leurs animaux au sein de leur foyer familial.
L'élevage amateur peut être une activité de loisir qui permet aux éleveurs de se procurer quelques revenus complémentaires, mais il demande beaucoup de rigueur, de disponibilité, de patience et de polyvalence. Il faut porter une attention constante à la santé des animaux, leur donner une alimentation équilibrée et savoir doser les aliments selon l'âge et la race, être capable d'apporter les premiers soins vétérinaires aux animaux, et sociabiliser les jeunes animaux.
Pour être agréé en tant qu'éleveur amateur, il est nécessaire de respecter certaines conditions, comme ne pas dépasser une certaine limite de portées par an. Les éleveurs amateurs doivent également être en possession d'un certificat de capacité, même si cela n'est pas obligatoire pour l'élevage amateur.
L'élevage occasionnel
L'élevage occasionnel est une activité d'élevage qui produit au maximum une portée par an de chiens ou de chats. Il est considéré comme un élevage non professionnel, car les éleveurs occasionnels ne détiennent pas plus de 5 femelles reproductrices et ne commercialisent pas plus de 10 portées par an. Les éleveurs occasionnels doivent obtenir un agrément pour élever des chiens ou des chats, qui est obligatoire dès que la gestation est en cours et une mise-bas imminente.
Pour obtenir un agrément pour un élevage occasionnel, les éleveurs doivent soumettre un formulaire en ligne ou en version papier, avec des renseignements tels que les coordonnées et des données relatives à l'élevage, telles que l'affixe, la race(s), et le nombre de femelles reproductrices. Si le dossier est complet et jugé satisfaisant, les éleveurs recevront un numéro d'agrément provisoire, qui leur permet de démarrer l'activité en question. La décision finale pour l'obtention ou non d'un numéro d'agrément permanent (valable 10 ans) sera prise dans les 4 mois qui suivent la réception de la demande.
Les élevages sont également soumis à des contrôles pour s'assurer de la conformité avec les exigences de bien-être animal. Ces contrôles concernent tant les aspects administratifs que les aspects pratiques, tels que la présence d'un personnel suffisant et compétent, le respect des normes pour la détention d'animaux, etc.
L'élevage des poules
L'élevage des poules (et autres volailles) en cage est critiqué pour ses conditions souvent restrictives, car les poules doivent se partager un espace très restreint, ce qui peut entraîner des problèmes de comportement et de santé. Cependant, cette méthode permet une gestion efficace de grands nombres de volailles et est courante en France, où 23 % des poules sont maintenues à vie dans des cages. Les œufs issus de l'élevage en cage sont numérotés « 3FR » sur la coquille et sur leur emballage.
L'élevage au sol offre plus d'espace aux poules, ce qui permet un meilleur bien-être animal tout en conservant une approche économiquement viable. Cependant, il peut être plus difficile à mettre en œuvre et peut entraîner des déperditions plus élevées.
Aussi, l'élevage en plein air favorise un cadre de vie plus naturel pour les poules, avec un accès direct aux pâturages et à l'herbe fraîche, ce qui améliore la qualité de leurs œufs et de leur vie.
Les promoteurs de l'élevage en cage le défendent en comparant les taux de mortalité entre cage et plein air, mais les chiffres ont changé et la mortalité en plein air est devenue similaire à celle observée en cages. Cependant, la mortalité en plein air diminue année après année depuis les années 2000, et l'expérience acquise est un des facteurs principaux de cette baisse.